ARCHIVES - LE MORT 2011-2017
A propos du Mort
Par Hubert Lucot*
« L’Eros : me semble proche de ce que j’ai écrit dans Le Centre de la France. Vu de l’intérieur - et non description libertine - mais concret.
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En outre : la fin GENIALE (empalement du frère).Cet empalement réalise toute l’angoisse de Lou. Laquelle a vaincu cette angoisse et évité le désastre.
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Le fait que l’action se passe dans la ville réelle et étrange de Bruxelles constitue un argument commercial. Bruxelles devient une sorte de Chicago pour le lecteur français.»
Par Catherine Flohic *
« J’ai lu le Mort et j’ai découvert avec intérêt les coïncidences entre votre personnalité et votre écriture, beaucoup de sensibilité, un jeu avec les convenances, sensualité, sexualité, rapports avec la société.
Ce texte est en ce sens très personnel et abouti. L’écriture dans sa simplicité apparente accompagne justement la rencontre avec votre personnage dans sa prise avec la réalité d’un monde âpre. »
Par Jacques Sojcher *
« Etrange livre. Il commence d’une manière minimaliste (et d’autant plus cruelle) avec la confrontation du père mort, la mère non aimante, la demi-sœur… puis c’est la dérive – la fuite du mort ? de la mère ? Dans la ville, dans les bars, du côté de Gaasbeek. Et la fin, abrupte, la mort du frère.
Les angoisses de Lou, l’érotisme exacerbé de Lou, sa rage de vivre malgré tout avec tous ses excès.
J’ai lu votre roman d’une traite. C’est une drogue. On est accro. On n’arrête plus. »
Par Jean-Loup Chiflet *
« Pour le moins que l’on puisse dire, c’est un ouvrage qui ne laisse pas indifférent. Je l’ai trouvé étonnant et dérangeant à la fois. J’en suis sorti bouleversé et votre magnifique écriture m’a bluffé… Total respect !»
Par Jeep Novak *
« j’ai adoré le personnage Bruxelles
cette chaleur invisible
seulement vue par les aveugles du quotidien »
